Dans le cadre de mon diplôme à l’ESAA Boulle, j’ai réfléchit au monde proposé par une généralisation des pratiques maker et hacker, en posant nottament la question suivante : Demain, tous producteurs ?

Les réflexions situées dans le domaine du design de produits, étayées par des analyses successives, préconisaient une plus grande manipulabilité des objets en alertant sur les danger du marché crée par le mouvement maker et ses dérives commerciales – notamment la “gadgétisation” à outrance, sans lien avec une connaissance réelle des objets qui nous entourent. Elles préféraient s’inspirer de la philosophie hacker en estimant qu’il était d’abord nécessaire de donner à comprendre, d’inciter à explorer et de trouver des solutions pour reconnecter l’usager avec la compréhension et la maîtrise de son environnement afin de lui permettre de le rendre enviable, personnel et durable.

Les questions suivantes émergeant de ce travail de réflexion sont en cours de développement sur des plans pratiques et théoriques au sein d’un projet de plus grande envergure. Vivement 2018 !